Résumé:
Cet article est une étude de la réception du roman maghrébin francophone L’Amande, publié sous pseudonyme pour éviter d’éventuelles représailles. Le roman regorge en effet de sujets jugés tabous dans la société musulmane en général, et maghrébine en particulier. Cette réception faite de violence, a occulté la valeur socio littéraire de l’œuvre, valeur qui mériterait d’être soulignée.